Au Bénin, l’ancien chef d’État Thomas Boni Yayi a pris la tête de l’opposition contre Patrice Talon, avec en ligne de mire l’élection présidentielle, prévue en avril 2026.
Et il compte bien peser dans la bataille, qui devrait virer au duel par procuration entre l’ancien dirigeant et son successeur Patrice Talon.
Pourquoi « par procuration » ? Tout simplement parce que les deux hommes ne peuvent plus briguer la magistrature suprême : le nombre de mandats est limité à deux par la Constitution.
Elle opposera, entre autres, le ministre des Finances, Romuald Wadagni, le candidat du pouvoir, et celui de sa formation politique qui, pour l’heure, n’a pas encore été désigné.
Pour l’aider à reconquérir le pouvoir, Thomas Boni Yayi s’appuie sur une poignée de fidèles politiques, d’amis de longue date, de nouveaux alliés autrefois opposés à lui : https://l.jeuneafrique.com/WIA.WA

