Dans le cadre de la refondation engagée par les autorités guinéennes, les travaux du barrage hydroélectrique d’Amaria dans la préfecture de Dubréka avancent à un rythme soutenu. Ce projet traduit la volonté politique du gouvernement de doter le pays d’infrastructures structurantes au service du bien commun.
Un chantier porteur de cohésion sociale
Sur le plan social, ce chantier illustre l’engagement de l’État à renforcer la cohésion nationale à travers une meilleure répartition des ressources énergétiques. Une fois achevé, le barrage permettra d’élargir significativement l’accès à l’électricité pour des milliers de foyers, aussi bien en milieu urbain qu’en zone rurale. Il contribuera ainsi à réduire les inégalités territoriales en matière de services essentiels, favorisant l’émergence d’une société plus solidaire, où chaque Guinéen pourra bénéficier des fruits du développement.
Un moteur de souveraineté et de transformation économique
D’un point de vue économique, le barrage d’Amaria représente une étape clé vers la souveraineté énergétique de la Guinée. Avec une capacité de production de 300 mégawatts issue d’une ressource locale et renouvelable, le projet permettra de limiter la dépendance aux énergies fossiles et aux importations énergétiques onéreuses. Il soutiendra également l’industrialisation du pays, en lien avec la vision Simandou 2040, tout en stimulant l’emploi local et en renforçant l’attractivité de la Guinée auprès des investisseurs internationaux. C’est un levier stratégique pour la transformation structurelle et la résilience de l’économie nationale.
Un pilotage rigoureux fondé sur la transparence
L’évolution maîtrisée de ce chantier témoigne d’un pilotage rigoureux, fondé sur les principes de transparence, d’efficacité et de redevabilité. Il reflète la capacité de l’État à conduire des projets d’envergure dans le respect des normes techniques, environnementales et sociales.
Facinet Soumah